Sourires et palourdes et … enfin on navigue un peu!
de Sète : l’Aubane, le Chrisylvanat, la Barcotte, la Damienne le Singe, le Pointu
de Bouzigues : l’Amitié, Loulette, le Mont saintclair, et le bateau de Denis
on pique-nique au mouillage au Rouquayrol et on NAVIGUE !
un petit vire -vire,
et on est tous contents, contents, contents …
mer de quelques mètres de profondeur au village d’El Attaya,
les voiles durent longtemps beau patchwork !
au port, barque évasée
la partègue aide s’il y a peu de vent et 50cm de profondeur
et aussi pour sortir et rentrer au port avec ou sans moteur
encore la partègue !
elle aide aussi à décoincer la voile !
départ, petite marée appelée « mer vivante »
le mât est court et incliné vers l’arrière
l’antenne longue et souple pour résister au clapôt vers le large
voile déchirée mais à bonne main un ris est pris par mer moutonnante
la rame toujours prête
barre très longue pour travailler au filet
ce pêcheur de 82 ans est très à l’aise
tenue de la voile pour s’orienter dans le port
voile qui va être ferlée en mer
sur une felouque de 6m par 2m, à « la monte » ou drisse tout est simple, pas de taquets !
pas non plus au mât, on enroule !
rencontre : retour de pêche,
souvent à 2 bateaux l’un porte les filets
la barque est pleine
vers les pêcheries : capéchades avec mur de palmes « mugelières » pour la pêche au muge
et pots pour attraper les poulpes passage discret le soir..
Nous remercions tous les pêcheurs qui ont donné de leur temps, des explications détaillées, un « salam » chaleureux et toujours avec un grand sens de l’accueil.
Ce qu’il ne faut pas faire, ou, ont ils essayé de « trélucher » ? La voile comme parapluie ? albatros ? mais ça finit bien, en godille, suivie d’ un cop de blanc et d’oursins !
P.S. TRELUCHER : changer de bord la voile, en la faisant passer de l’autre côté du mât.