Un grand merci à Mili et Patrice pour leurs belles photos ! Dubai : à 20 km au port de Sharjah en février 2013, des boutres (ou dhows) naviguant
à quai : « l’Al Bukhari » du nom d’un penseur persan du Xème siècle né à Boukhara.
travail de calfatage
détails de proues et de poupes
et de nasses
poupe neuve
réparations des bordés et entretien, pour protéger le bois, on badigeonnait la coque avec une pâte, « sall » , mélange de sardine et d’huile de foie de requin.
pavois sculptés
rambardes colorées
ancres
et l’impressionnant safran-gouvernail !
Les boutres, sans leurs voiles, motorisés, sont toujours en service, soit comme chalutiers soit comme cargos.
Panorama : pêche et nasses
accueil de deux pêcheurs
cascade de nasses
fabrication de nasses
légèreté
Pourquoi rouge ? On teintait les filets chez nous de cette couleur !
il lutte contre la pollution
repos : jeu de karom
Après la pêche
Comme les pêcheurs, les dockers viennent souvent d’Inde et du Pakistan
Les grues au travail
voitures
sacs
câbles, pneus, …
et chargement à la main
déchargement des containers de … Chine !
partout des boutres et marchandises de toutes sortes
repos
le capitaine veille (?)
Le boutres ont une si grande importance qu’on les retrouve sur les billets
et le patrimoine maritime est mis en valeur dans le splendide musée de Sharja.
à l’extérieur
à l’intérieur, vue générale
une vieille photo d’un « cheval de trait du Golfe »
photo d’un boutre abandonné
les boutres ont longtemps servi à la pêche et au commerce des perles
maquette d’un petit boutre
maquette d’un grand boutre
« shasha » : barque en branches de palmiers
photo d’un vieux chantier : charpentiers sciant une pièce pour l’étrave
matériaux de construction : clous, chanvre et résine, …
fers à calfat
scies et herminettes
chignoles …
instruments de navigation :
astrolabes : inventés par les Grecs, fabriqués et utilisés par les Arabes du Xème au XVIème siècle
et le « kamal » encore plus ancien :
il mesurait l’altitude de l’étoile polaire qui était utilisée pour déterminer la latitude :
Le marin tenait un planchette trouée, le bas au niveau de l’horizon. Il tenait avec les dents un bout à noeuds espacés régulièrement. Il élevait la planchette jusqu’à ce que le haut soit au niveau de l’étoile . Il déterminait la latitude en comptant le nombre de noeuds passés.
La navigation à la voile latine perdure dans des régates de grands boutres de compétition
Une vingtaine de joyeux volontaires ont répondu à l’appel pour nettoyer l’extérieur du chantier des Voiles Latines à la Plagette au premier plan l’étuve toute neuve
on remplit la carriole, en route pour la déchèterie
emballée par son ancien bureau !
l’union fait la force
les femmes au balai !
le poids de la fonte
2 volontaires, on fait rouler dessus ?
la cène : on discute patrimoine
2 travailleuses convaincues entrainent la reprise du travail sans sieste