Nous voguons avec les catalanes de Palavas et nos 5 barquettes : Aubane, Chrisylvanat, Damienne, Hébé, Evidence, Thetis et 1 yole Yness et écouterons de notre coté la poétesse maltaise, Nadia Mifsud et le poète belge Dominique Massaut
les pontons qui ont servi au rugby sur l’eau ! il y a moins cher!
et l’apéro…ceci n’est pas une tasse de thé !
à demain au chantier de la Plagette
Photos de René et Marie-O et Françoise venue sur les barques et qui nous envoie cette photo, avec de petits ‘insectes’ bruyants au loin!
Les photos anciennes données par Kakine, nous rappellent qu’avant 1950 environ et l’arrivée des moteurs, les bateaux de « travail » catalanes et bateaux-boeufs (car ils pêchaient de « conserve », par deux), partaient à la pêche et rentraient au port à la voile, attendus par les nacelles venues chercher le poisson.
Ici les catalanes au mât penché vers l’avant, au « capian-sabot »
Les nacelles, plus petites à fond plat, ramenaient la pêche au plus vite, des bateaux boeufs
Les bateaux-boeufs au mât droit, au long bout-dehors pour le « foc »
Un spectacle quotidien du passé qu’on ne peut oublier.
Ce vendredi 28 juillet en fin d’après-midi, on se sépare avec deux poètes : Paul de Brancion ( France ) et une poétesse portugaise, Maria Joao Cantinho, avec la comédienne chargée de lire les traductions.
Le site « poétique » en lui même, côté étang,
côté atelier et de profil..
derrière les « barrots » (partie de la barque ) !
les paroles s’envolent
il y a toujours une petite interrogation : traduction-trahison ?
mais le public n’en a cure, tout ensoleillé
Sophie de Paris
Pierre d’Occitarame, heu-reux
on aperçoit un verre, l’apéro démarre grâce aux « mamans » ! ! et aux « papas » ! ! !Christine, Maryvonne et même Nadia
les femmes des « boscos » sont bien là Philippe est en sandwich, mais les filles préfèrent le chocolat
le coucher de soleil sur l’étang, cerise sur le gateau, est un must
Nous récidiverons, en 2018… longue vie aux poètes !