Les mosaïques romaines de Tunisie l’attestent : des poulpes il y en a toujours eu

l’hiver on les pêche avec des pots,

par dizaines, par centaines

qui ?

tout le monde !

l’encre filtre libres

ou en sac

à deux

dans l’eau du « port »

du bateau

petits et grands

à quai de nuit : il y a eu une « manne », une arrivée de poulpes une nuit, inattendue et rare, expliquée par le réchauffement climatique…les chalutiers qui n’avaient pas raclé les fonds pendant 3 mois…

que fait-on après ? on leur mord les yeux,


comme ici avec une pointe ou une fourchette et puis ?



on les tape et retape, ici on dit « baceler le poufre »

ou on les porte au mareyeur

et on les mange, en salade, en ragoût, en couscous…
sauf en tielles…pour le moment.

On pêche aussi les muges, loups, rougets, mérous, pageots…

orphies

dentés

et coryphènes qu’on retrouve au Musée Maritime de Carthage poissons un peu mythiques, qu’on trouve rarement à Sète, et bien plus gros sous les tropiques appelés « mahi-mahi », mais est ce bien les mêmes ?
Qui nous renseignera ?


(à suivre : prochain reportage sur les constructions de bateaux en bois à El Attaya et Kraten. )
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